Notre histoire
Découvrez l'histoire de notre hôtel familial à Carcassonne !
Créer des hôtels, c’est comme vous rencontrer.
C’est un peu de nous-mêmes que vous allez découvrir.
Notre bonheur c’est de vous accueillir, suivez notre histoire.
C’est un peu de nous-mêmes que vous allez découvrir.
Notre bonheur c’est de vous accueillir, suivez notre histoire.
Cécile et Stéphane RIVES
1- le debut de notre histoire :
1-1 Depuis toujours un couple :
Cécile : Nous n’avions que 15 ans quand nous avons entâmé cette aventure. J’aimais avant tout voyager, aller à la rencontre des gens, découvrir d’autres modes de vie. Tout jeunes, nous avons fait nos débuts dans le métier au sein de l’hôtel des oncle et tante de Stéphane, à Saint-Tropez. Nous avons appris à recevoir les clients, être attentifs à tout, aller au-devant de leurs attentes et accéder à toutes leurs demandes.
Stéphane : La viticulture et le terroir sont mes racines. C’est au contact de mes grands-parents que j’ai acquis la patience du rythme de la nature. Courageux et pas malhabile, j’ai toujours participé aux activités manuelles. Je suis amoureux du travail bien fait, j’attends de ceux qui travaillent à mes côtés qu’ils mettent autant de cœur à l’ouvrage que moi. Et ce, depuis que j’ai conduit mes premiers chantiers, très jeune.
Stéphane : La viticulture et le terroir sont mes racines. C’est au contact de mes grands-parents que j’ai acquis la patience du rythme de la nature. Courageux et pas malhabile, j’ai toujours participé aux activités manuelles. Je suis amoureux du travail bien fait, j’attends de ceux qui travaillent à mes côtés qu’ils mettent autant de cœur à l’ouvrage que moi. Et ce, depuis que j’ai conduit mes premiers chantiers, très jeune.
1-2 Au départ la famille :
Stéphane : Notre famille est le point de départ de tout : nos enfants sont partie prenante dans tous nos projets. Nos deux plus jeunes filles, Mathilde (2006) et Adèle (2007), nous conseillent pour la décoration ; nos grands garçons, Louis (2001) et Édouard (2002), sont très impliqués dans les travaux.
Cécile : Les enfants d’abord ! Il n’est pas rare que Colomban (né en 2011) vienne partager un moment à la réception, pour le plus grand bonheur de nos clients. Notre vie s’est construite dans nos hôtels, mais nos enfants ont la liberté de construire la leur. Louis mène un parcour sportif en Pôle Espoir de ski Alpin, à Albertville dans les Alpes. Ses nombreux voyages sont une source de connaissances : il collecte des idées qui nous aident à renouveler notre regard professionnel.
Cécile : Les enfants d’abord ! Il n’est pas rare que Colomban (né en 2011) vienne partager un moment à la réception, pour le plus grand bonheur de nos clients. Notre vie s’est construite dans nos hôtels, mais nos enfants ont la liberté de construire la leur. Louis mène un parcour sportif en Pôle Espoir de ski Alpin, à Albertville dans les Alpes. Ses nombreux voyages sont une source de connaissances : il collecte des idées qui nous aident à renouveler notre regard professionnel.
Cécile : Nous sommes entrepreneurs avant tout. Nous aimons bâtir, inventer, offrir l’excellence à nos clients. Qu’il soit question du confort ou du service, l’hôtellerie ne souffre pas l’approximation. La perfection est la règle.
Stéphane : Contrairement aux chaînes hôtelières déshumanisées, nous recherchons le contact avec nos clients. Nous voulons les recevoir, les écouter et répondre à leurs envies. Leur proposer le meilleur accueil dans des chambres exceptionnelles par leur décoration et leur confort. Qu’il se sentent chez nous comme chez eux.
Stéphane : Contrairement aux chaînes hôtelières déshumanisées, nous recherchons le contact avec nos clients. Nous voulons les recevoir, les écouter et répondre à leurs envies. Leur proposer le meilleur accueil dans des chambres exceptionnelles par leur décoration et leur confort. Qu’il se sentent chez nous comme chez eux.
2- Nos hôtels :
2-1 Vastes, classiques et contemporains à la fois :
La Cité de Carcassonne est au début de notre histoire Alors que nous avons tout juste 28 ans, nous jetons notre dévolu sur un établissement un peu vieillot et délabré.
Cécile : Nous devons reprendre tous les volumes afin de redonner une modernité à ces vieilles pierres, à deux pas des remparts de la Cité médiévale. Nous nous établissons rapidement au sous-sol de l’hôtel pour suivre les chantiers au jour le jour. Nous sommes tour à tour gardien de nuit, réceptionniste, ouvrier ou gardien de nuit...
Stéphane : 10 ans, c’est le temps qu’il faudra pour créer l’Hôtel du Château, l’Hôtel Montmorency*** sera son annexe.
Cécile : Faire coexister l’architecture médiévale et un accueil à la Française : c’est ce qui a présidé à la naissance de l’Hôtel du Château. Riches tentures, fer forgé, plafonds à caissons et vieille pierre cotoient des matériaux soigneusement choisis, qui riment avec règles de l’art et respect du passé.
Stéphane : Dès 2010, l’Hôtel Octroi rejoint le giron familial, lui aussi à proximité de la Cité de Carcassonne. Avec ses deux étoiles et ses 17 chambres surannées, il est vite redécoré dans un style plus contemporain. Quelques mois plus tard, 4 maisons du quartier viennent s’ajouter à l’établissement. Les clients bénéficient désormais d’un jardin avec terrasse et piscine.
Stéphane : Le budget explose mais notre offre s’enrichit : l’Hôtel de l’Octroi fait la jonction entre la ville et la Cité. Il se veut joyeux et coloré, design et contemporain. Comme un petit chez-soi, simple et convivial.
Cécile : Au même moment, l’Hôtel Montmorency augmente sa surface grâce à l’achat de deux maisons mitoyennes.
Stéphane : Nous prenons tous les risques. Le recours à des entreprises extérieures -pour la première fois- vient compliquer notre tâche. Les chantiers m’épuisent et je ne peux plus me consacrer à la réception de nos clients. Un vrai déchirement.
Cécile : Malgré tout, l’hôtel Montmorency se transforme : design et plus contemporain, mais sans compromis sur le confort et la qualité d’accueil.
Cécile : Nous devons reprendre tous les volumes afin de redonner une modernité à ces vieilles pierres, à deux pas des remparts de la Cité médiévale. Nous nous établissons rapidement au sous-sol de l’hôtel pour suivre les chantiers au jour le jour. Nous sommes tour à tour gardien de nuit, réceptionniste, ouvrier ou gardien de nuit...
Stéphane : 10 ans, c’est le temps qu’il faudra pour créer l’Hôtel du Château, l’Hôtel Montmorency*** sera son annexe.
Cécile : Faire coexister l’architecture médiévale et un accueil à la Française : c’est ce qui a présidé à la naissance de l’Hôtel du Château. Riches tentures, fer forgé, plafonds à caissons et vieille pierre cotoient des matériaux soigneusement choisis, qui riment avec règles de l’art et respect du passé.
Stéphane : Dès 2010, l’Hôtel Octroi rejoint le giron familial, lui aussi à proximité de la Cité de Carcassonne. Avec ses deux étoiles et ses 17 chambres surannées, il est vite redécoré dans un style plus contemporain. Quelques mois plus tard, 4 maisons du quartier viennent s’ajouter à l’établissement. Les clients bénéficient désormais d’un jardin avec terrasse et piscine.
Stéphane : Le budget explose mais notre offre s’enrichit : l’Hôtel de l’Octroi fait la jonction entre la ville et la Cité. Il se veut joyeux et coloré, design et contemporain. Comme un petit chez-soi, simple et convivial.
Cécile : Au même moment, l’Hôtel Montmorency augmente sa surface grâce à l’achat de deux maisons mitoyennes.
Stéphane : Nous prenons tous les risques. Le recours à des entreprises extérieures -pour la première fois- vient compliquer notre tâche. Les chantiers m’épuisent et je ne peux plus me consacrer à la réception de nos clients. Un vrai déchirement.
Cécile : Malgré tout, l’hôtel Montmorency se transforme : design et plus contemporain, mais sans compromis sur le confort et la qualité d’accueil.
Cécile : Nous employons 30 personnes qui doivent être capables de satisfaire toutes les demandes de nos hôtes. Il leur faut être patientes et polyvalentes, disponibles et attentionnées.
Stéphane : Notre personnel est donc prévenant et prend en charge nos clients avec le plus grand soin. C’est impératif.
Cécile : Motivation, dynamisme et implication sont les maîtres-mots de notre profession. Nos équipes sont sélectionnées et formées à cet effet. La qualité de service est à ce prix.
Stéphane : Au fil des ans nous avons fait évoluer notre offre. Les clients sont toujours plus exigeants et ne se contentent plus d’une chambre luxueuse et confortable, d’un accueil chaleureux. Il nous a fallu offrir de nouveaux avantages.
Nous sommes en 2011 : il n’y a pas de spa à Carcassonne. Nous sommes donc les premiers à le proposer, au sous-sol de l’Hôtel du Château. C’est un plus indéniable pour nos clients qui peuvent profiter de cet espace de détente privatif, avec hammam et piscine. Un endroit élégant et reposant, où accueil rime avec soins et détente.
Cécile : Une formation est prodiguée à 4 masseuses à Paris, au sein des établissements Carita, une marque d’exception dans le domaine des soins et de l’esthétique. Nous offrons ainsi des soins individuels ou en couple au sein-même de notre hôtel, sans intermédiaire. Nous conservons ainsi une clientèle fidèle qui bénéficie d’un accueil privilégié dans des cabines privées, loin des regards.
Stéphane : Notre personnel est donc prévenant et prend en charge nos clients avec le plus grand soin. C’est impératif.
Cécile : Motivation, dynamisme et implication sont les maîtres-mots de notre profession. Nos équipes sont sélectionnées et formées à cet effet. La qualité de service est à ce prix.
Stéphane : Au fil des ans nous avons fait évoluer notre offre. Les clients sont toujours plus exigeants et ne se contentent plus d’une chambre luxueuse et confortable, d’un accueil chaleureux. Il nous a fallu offrir de nouveaux avantages.
Nous sommes en 2011 : il n’y a pas de spa à Carcassonne. Nous sommes donc les premiers à le proposer, au sous-sol de l’Hôtel du Château. C’est un plus indéniable pour nos clients qui peuvent profiter de cet espace de détente privatif, avec hammam et piscine. Un endroit élégant et reposant, où accueil rime avec soins et détente.
Cécile : Une formation est prodiguée à 4 masseuses à Paris, au sein des établissements Carita, une marque d’exception dans le domaine des soins et de l’esthétique. Nous offrons ainsi des soins individuels ou en couple au sein-même de notre hôtel, sans intermédiaire. Nous conservons ainsi une clientèle fidèle qui bénéficie d’un accueil privilégié dans des cabines privées, loin des regards.
Stéphane : Les plates-formes de réservation en ligne ont constitué, dès 2010, un tournant de la profession. Si celles-ci facilitent la présentation de l’offre au client (prix, confort , services, localisation...), nous en faisons les frais en tant qu’hôteliers. Notre relation avec ce dernier est rompue car nous n’avons plus de contact direct avec lui au moment de la réservation.
Cécile : Nous perdons tout repère. De plus, la crise de 2008 a déjà accentué la concurrence, certains de nos confrères se lançant dans une guerre des tarifs effrénée pour vendre davantage de nuitées. Nos marges sont rabotées par les commissions prélevées par les sites de réservation contre un bon référencement. Une baisse qui peut atteindre la moitié sur certaines chambres.
Stéphane : Une distance se crée avec nos clients. Nos investissements ne correspondent plus au prix pratiqués si nous voulons conserver un niveau de prestations décent. Nous imaginons même devoir licencier des employés.
Les avis en ligne sont une nouvelle source de préoccupation. Sans que nous ayons pu en parler avec eux, des clients nous gratifient de commentaires désobligeants voire mensongers. Les outils numériques accroissent le fossé entre notre clientèle et nous. La relation humaine est rompue alors que nous avons toujours privilégié cet aspect de notre profession. Nous prenons conscience de la nécessité d’engager de nouveaux projets, faire souffler un vent nouveau.
Cécile : Nous voulons conserver le cap : l’envie d’accueillir, le respect de notre clientèle, le plaisir d’offrir l’excellence en toutes circonstances. Il est inconcevable de baisser nos prix si nous voulons maintenir la qualité du service.
Stéphane : Puis, la clientèle a progressivement modifié ses usages des plates-formes de réservation en ligne, comprenant mieux les offres et différenciant davantage les services offerts. De notre côté, nous percevons mieux les messages et avis en ligne, cernant plus facilement les points à améliorer et les remarques positives. Nous avons démarré cette épopée à Carcassonne, mais de nouvelles envies nous poussent...
Cécile : Nous perdons tout repère. De plus, la crise de 2008 a déjà accentué la concurrence, certains de nos confrères se lançant dans une guerre des tarifs effrénée pour vendre davantage de nuitées. Nos marges sont rabotées par les commissions prélevées par les sites de réservation contre un bon référencement. Une baisse qui peut atteindre la moitié sur certaines chambres.
Stéphane : Une distance se crée avec nos clients. Nos investissements ne correspondent plus au prix pratiqués si nous voulons conserver un niveau de prestations décent. Nous imaginons même devoir licencier des employés.
Les avis en ligne sont une nouvelle source de préoccupation. Sans que nous ayons pu en parler avec eux, des clients nous gratifient de commentaires désobligeants voire mensongers. Les outils numériques accroissent le fossé entre notre clientèle et nous. La relation humaine est rompue alors que nous avons toujours privilégié cet aspect de notre profession. Nous prenons conscience de la nécessité d’engager de nouveaux projets, faire souffler un vent nouveau.
Cécile : Nous voulons conserver le cap : l’envie d’accueillir, le respect de notre clientèle, le plaisir d’offrir l’excellence en toutes circonstances. Il est inconcevable de baisser nos prix si nous voulons maintenir la qualité du service.
Stéphane : Puis, la clientèle a progressivement modifié ses usages des plates-formes de réservation en ligne, comprenant mieux les offres et différenciant davantage les services offerts. De notre côté, nous percevons mieux les messages et avis en ligne, cernant plus facilement les points à améliorer et les remarques positives. Nous avons démarré cette épopée à Carcassonne, mais de nouvelles envies nous poussent...
3- Vers de nouveaux horizons :
3-1 Retrouver nos racines :
Cécile : Comme toujours, c’est la famille qui nous permettra de repartir du bon pied. Envisager le futur, avec nos enfants. Reconstruire une vie commune, selon nos références.
Stéphane : La base de ce nouveau départ doit être solidement ancrée dans l’Histoire, de l’ancien, solide et impérissable.Un bâtiment à Aigues-Mortes, marqué par les Croisades, répond à ces critères : l’Hôtel des Remparts. Il est situé en Camargue, dans le Gard, au bord de la mer, synonyme de soleil et de détente.
3-2 Découvrir de nouvelles sensations :
Cécile : Nos clients, à Carcassonne, ne font qu’une halte. Pressés de rejoindre les plages ou l’Espagne, après une visite-éclair à la Cité médiévale, ils ne restent qu’une nuit à l’hôtel. Ils iront vite se perdre dans le flot des vacanciers de l’A9 sans même prendre le temps de se poser un instant.
Stéphane : À Aigues-Mortes, c’est tout l’inverse. Cette petite ville conviviale semble conçue pour flâner, se reposer, goûter la douceur de vivre propre à la Camargue. On y prend le temps de découvrir les gens, leurs habitudes, leur mode de vie. On suit le rythme des manades et de la nature. On profite de la musique, des productions locales ou d’une sortie en bateau. On peut aussi lézarder sur les plages, suffisamment loin de la ville la plus proche, Montpellier.
Stéphane : La base de ce nouveau départ doit être solidement ancrée dans l’Histoire, de l’ancien, solide et impérissable.Un bâtiment à Aigues-Mortes, marqué par les Croisades, répond à ces critères : l’Hôtel des Remparts. Il est situé en Camargue, dans le Gard, au bord de la mer, synonyme de soleil et de détente.
3-2 Découvrir de nouvelles sensations :
Cécile : Nos clients, à Carcassonne, ne font qu’une halte. Pressés de rejoindre les plages ou l’Espagne, après une visite-éclair à la Cité médiévale, ils ne restent qu’une nuit à l’hôtel. Ils iront vite se perdre dans le flot des vacanciers de l’A9 sans même prendre le temps de se poser un instant.
Stéphane : À Aigues-Mortes, c’est tout l’inverse. Cette petite ville conviviale semble conçue pour flâner, se reposer, goûter la douceur de vivre propre à la Camargue. On y prend le temps de découvrir les gens, leurs habitudes, leur mode de vie. On suit le rythme des manades et de la nature. On profite de la musique, des productions locales ou d’une sortie en bateau. On peut aussi lézarder sur les plages, suffisamment loin de la ville la plus proche, Montpellier.
Cécile : Avant même d’entrer dans l’Hôtel des remparts, vous ne pourrez résister à l’envie d’un bon cocktail maison en terrasse, conçu par nos garçons avec Stéphane. Ensuite seulement, les salons et leurs murs épais en pierre vous offriront une fraicheur bienvenue. Vous serez baignés d’une douce lumière filtrée par les hautes fenêtres de ce bâtiment ancien. Enfin, si cela ne suffisait pas, vous pourrez vous prélasser dans la piscine et son jacuzzi afin d’effacer la fatigue du soleil de l’été.
Stéphane : L’architecture du bâtiment -pierre taillée et hauts plafonds- témoigne de son Histoire : il fut une caserne, puis une gendarmerie, et enfin une prison. C’est aujourd’hui devenu un endroit d’exception dédié au luxe, au confort et à l’élégance.
Cécile : Le défi fut d’accorder le bien-être et la décoration contemporaine avec l’ancienneté de la pierre et la force de l’édifice. L’Hôtel des Remparts est désormais un lieu de repos, de quiétude, où l’on peut se poser, aussi bien avec des amis qu’en famille, ou pour un rendez-vous d’affaires. En toutes saisons.
Stéphane : Quand nous débutons les travaux, en 2016, nous sommes impatients, mais loin d’évaluer l’ampleur du chantier de Titans qui s’offre à nous. Nous rencontrons rapidement des soucis, la vieille pierre nous rend la tâche difficile. Reconstruire et rénover, tout en respectant l’ancienneté du bâtiment semble une gageure, surtout compte tenu des impératifs de temps.
Stéphane : L’architecture du bâtiment -pierre taillée et hauts plafonds- témoigne de son Histoire : il fut une caserne, puis une gendarmerie, et enfin une prison. C’est aujourd’hui devenu un endroit d’exception dédié au luxe, au confort et à l’élégance.
Cécile : Le défi fut d’accorder le bien-être et la décoration contemporaine avec l’ancienneté de la pierre et la force de l’édifice. L’Hôtel des Remparts est désormais un lieu de repos, de quiétude, où l’on peut se poser, aussi bien avec des amis qu’en famille, ou pour un rendez-vous d’affaires. En toutes saisons.
Stéphane : Quand nous débutons les travaux, en 2016, nous sommes impatients, mais loin d’évaluer l’ampleur du chantier de Titans qui s’offre à nous. Nous rencontrons rapidement des soucis, la vieille pierre nous rend la tâche difficile. Reconstruire et rénover, tout en respectant l’ancienneté du bâtiment semble une gageure, surtout compte tenu des impératifs de temps.
Cécile : Les artisans ne cessent de retarder les délais, les retards s’accroissent de jour en jour et grèvent le budget. Initialement programmées en 2017, les chambres devront être réalisées plus tard que prévu.
Stéphane : Pour contenir les retards, j’en viens à préparer moi-même les chantiers. Je suis sur place dès 6h du matin pour installer le matériel et faire en sorte que les travaux démarrent en temps et en heure. J’échafaude de nouveaux plans et planifie les tâches à venir. Mes journées se finissent tard le soir, j’effectue tout ce qui peut l’être sans nuire au voisinage.
Cécile : Seuls le bar et la terrasse ouvrent en 2017. Malgré un chantier toujours en cours, notre première saison est réussie.
Stéphane : 19 mois après l’avoir commencé, le chantier se termine, l’Hôtel des Remparts voit enfin le jour ! Nous recevons nos premiers clients dans les chambres. Un vent nouveau souffle sur la famille Rives.
Stéphane : Pour contenir les retards, j’en viens à préparer moi-même les chantiers. Je suis sur place dès 6h du matin pour installer le matériel et faire en sorte que les travaux démarrent en temps et en heure. J’échafaude de nouveaux plans et planifie les tâches à venir. Mes journées se finissent tard le soir, j’effectue tout ce qui peut l’être sans nuire au voisinage.
Cécile : Seuls le bar et la terrasse ouvrent en 2017. Malgré un chantier toujours en cours, notre première saison est réussie.
Stéphane : 19 mois après l’avoir commencé, le chantier se termine, l’Hôtel des Remparts voit enfin le jour ! Nous recevons nos premiers clients dans les chambres. Un vent nouveau souffle sur la famille Rives.
Aigues-Mortes nous a adoptés, mais notre vie reste partagée avec Carcassonne ou nous continuons à nous occuper de nos trois hôtels.
Notre fils ainé évolue toujours dans les Alpes en tant que skieur de haut niveau et poursuit parallèlement ses études à l’EDHEC de Nice. Notre second fils alterne des études supérieures en commerce international sur la faculté de Notthingham et celle de Valence en Espagne. Nos deux filles sont internes dans une école proche de Lyon. Et notre dernier est scolarisé près d’Aigues-Mortes.
Nous sommes à ce jour considérablement affaiblis par cette terrible crise COVID qui frappe de plein fouet notre secteur d’activité. Nous tenons bon et gardons espoir.
Que nous réserve l’avenir ? Difficile à dire. Une chose est sûre : nous continuerons de créer des ambiances et inventer des hôtels !
Notre fils ainé évolue toujours dans les Alpes en tant que skieur de haut niveau et poursuit parallèlement ses études à l’EDHEC de Nice. Notre second fils alterne des études supérieures en commerce international sur la faculté de Notthingham et celle de Valence en Espagne. Nos deux filles sont internes dans une école proche de Lyon. Et notre dernier est scolarisé près d’Aigues-Mortes.
Nous sommes à ce jour considérablement affaiblis par cette terrible crise COVID qui frappe de plein fouet notre secteur d’activité. Nous tenons bon et gardons espoir.
Que nous réserve l’avenir ? Difficile à dire. Une chose est sûre : nous continuerons de créer des ambiances et inventer des hôtels !
À suivre...
Carcassonne, vieille ville mythique moyenageuse.
A visiter assurément en amoureux ou en famille
Accueil excellent à la réception par des personnes à l'écoute du client, qui maîtrisent la langue anglaise, et qui vous servent le petit-déjeuner le matin.
Petit déjeuner copieux et varié avec produits frais du terroir, servi à table pour 12 Euros. Hôtel très bien situé à 400 m de l'entrée principale de la vieille ville de Carcassonne, et à 20 m de l'arrêt de bus "shuttle" qui vient de et va à l'aéroport.
Magnifique petite piscine avec eau chauffée en permanence à 28 °C.
WiFi gratuit et qui fonctionne très bien dans la chambre.